TRANSIT MAGAZINE - Swiss Metal Magazine

CONCOURS TRANSIT


ELECTRON RAGE (Dookoom, Algorithm, Protohype, Aïsha Devi, L-Za)
L'Usine, Genève
25.03.2016

Pour plus d'infos : http://www.transitmag.ch/index.php?Article=6028

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mis en ligne le : 16.05.10 par indy

CD - CREMATORY | Infinity (2010)

CREMATORY | Infinity (2010)
Massacre Records



Voici le petit dernier des Allemands de Crematory, ‘Infinity’, un an tout juste avant de fêter leurs vingt ans d’existence (malgré une pause salvatrice entre 2001 et 2003). Sur ce nouvel opus, dix titres gothiques et mélodiques de bonne facture. Les programmations sont nombreuses et penchent électroniques. Le mélange guttural de Felix Stass et la voix claire, parfois susurrée, de Matthias Hechler, font recette. Le courant passe parfaitement entre ces deux-là, même si leurs parties respectives sont parfois trop prévisibles. Il y a des titres lourds qui boostent cet album ‘Never Look Back’, ‘Where Are You Now’ et d’autres plus tranquilles avec même une ballade en allemand ‘Auf Der Flucht’ qui nous renverrait presque à l’époque d’un vieux Theatre Of Tragedy. Est présente également, une cover de Depeche Mode : ‘Black Celebration’. L’ayant fait écouter à un inconditionnel du groupe pop britannique, celui-ci nous a confirmé que la reprise est fidèle, bien que saucée Crematory évidemment ! Le jubilé de l’année prochaine sera par ailleurs l’occasion pour Crematory de proposer un greatest hits avec pas moins qu’un CD et un DVD. Belle offrande de l’un des groupes allemands les plus respectés et appréciés. [Effext]

www.crematory.de

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mis en ligne le : 26.05.10 par graber

CD - CRAZY LIXX | New Religion (2010)

CRAZY LIXX | New Religion (2010)
Frontiers Records



Après les États-Unis dans les années huitante c'est au tour de la Scandinavie de devenir l'endroit à la mode. Si les Mötley Crüe et autres Poison ont marqué toute une génération, les Hardcore Superstar, Crashdiet et maintenant Crazy Lixx risquent bien de suivre la même trace. C'est à se demander ce que les pays nordiques ont de plus que les autres pour abriter autant de bons groupes. Après un premier album, 'Loud Minority', sorti en 2007, qui a atteint la deuxième place des charts nationaux, le groupe suédois est de retour avec une petite bombe sous le paletot. Du glam sleaze en veux-tu en voilà, c'est toute la recette de ce 'New Religion' ! Après un départ sur les chapeaux de roue, arrive '21 'Til I Die' qui résume magnifiquement cet album. On se croirait replonger en pleine vague glam des débuts des eighties avec les frasques de Mötley : une énergie impressionnante, une joie communicative, une rythmique d'enfer, une mélodie imparable et des paroles qui fleurent bon la démesure. L'avantage est que les productions actuelles bénéficient d'un son bien meilleur que celles des eighties. Celui de 'New Religion' est l'œuvre de Chris Laney (Europe, Crashdiet, Candlemass), le producteur qui monte. Avec 'Blame It On Love' et 'Voodoo Woman', la référence est cette fois-ci le grand Def Leppard, avec des arrangements et une mélodie de toute beauté. Le rythme ralentit quelque peu dans la seconde partie de l'album et le groupe prouve qu'il possède de véritables talents de compositeur, sans trop insister sur le copier / coller. C'est clair que ses maîtres se nomment Kiss, Keel, la bande à Nikki Sixx, et autres Léopard Sourd mais le groupe du chanteur Danny Rexon sait écrire des morceaux qui accrochent à la première écoute et se créer une identité dans le paysage encombré du glam sleaze scandinave. Très bien joué ! [Etendhard]

www.crazylixx.com

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mis en ligne le : 26.05.10 par graber

CD - CHARRED WALLS OF THE DAMNED | Charred Walls Of The... (2010)

CHARRED WALLS OF THE DAMNED | Charred Walls Of The Damned (2010)
Metal Blade Records



Dans la pile de chroniques à faire, je pioche le CD de Charred Walls Of The Damned et je me demande un peu naïvement : ‘Tiens, qu’est-ce que c’est que cette chose ?’. Puis j’écoute et là… Force est de constater qu’il ne s’agit pas de n’importe quel groupe néophyte. C’est alors que je consulte la bio… Ok, tout est clair quant à ce qui se passe ici ! Quand on lit que les quatre joyeux lurons qui s’amusent ici ne sont autres que Tim ‘Ripper’ Owens, le monstre batteur Richard Christie, Jason Suecof et le fameux bassiste Steve Di Giorgio, on comprend un peu mieux que pour une première réalisation, le niveau est proche du plafond. Comme vous pouvez l’imaginer, Charred Walls Of The Damned s’impose comme un album extrêmement léché et techniquement irréprochable. Mais pour un auditeur qui serait peu enclin à se taper un disque complet de power thrash metal, la chose pourrait s’avérer un peu laborieuse, même si l’opus ne fait que trente-cinq minutes. Pour les fans de ces légendes vivantes, par contre, l’objet apparaîtra comme un délice trop court et bien trop précieux pour être écouté à la légère. Me situant entre les deux eaux, j’apprécie ‘Charred Walls Of The Damned’ pour ses qualités d’exécution, mais je trouve son écoute un peu trop linéaire. Cependant, l’ouvrage n’en reste pas moins un produit de grande classe ! [Arnaud]

www.myspace.com/charredwallsofthedamned

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mis en ligne le : 26.05.10 par graber

CD - CATAMENIA | Cavalcade (2010)

CATAMENIA | Cavalcade (2010)
Massacre Records



Catamenia, c’est un peu comme les giboulées de mars… On ne les attend pas vraiment mais elles débarquent quand même pour nous rappeler qu’on n’a pas fini se les geler. Tous les quinze mois, la bande venue du froid balance un nouvel album. Sans surprise, ‘Cavalcade’ ne s’écarte pas d’un iota de la lignée tracée depuis ‘Location : COLD’, en 2006. Titres hyper-efficaces, rythmiques speedées, refrains imparables… À force, Catamenia connaît la recette. ‘Blood Trails’ ouvre les hostilités avec son riff à se démettre les cervicales. Les screams black font très vite place à un chant clair râpeux, reconnaissable entre mille : Ville Laihiala (Poisonblack, Sentenced), venu épauler ses compatriotes, transforme ce titre en hit. Plus sombres, ‘Cavalcade’ et ‘Post-Mortem’ prennent des allures de randonnée au pays des Mille Lacs, avec leurs ambiances dignes d’Amorphis. Le chant mélodique et puissant de Kari Vähäkuopus, parfois proche de celui de James Hetfield, s’intègre aussi idéalement sur des compos rageuses (‘Quantity Of Sadness’) que sur des pièces plus atmosphériques (‘Silence’). Fidèle à sa propre tradition, Catamenia en profite pour livrer deux reprises bien senties : ‘Angry Again’ de Megadeth et ‘Farewell’ de Sentenced complètent l’opus. Ce neuvième album n’aura pas la palme de l’œuvre la plus novatrice. Les fans de Kalmah, d’Eternal Tears Of Sorrow ou… de Catamenia ne trouveront pourtant rien à reprocher à ‘Cavalcade’. [Dave]

www.catamenia.net

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mis en ligne le : 26.05.10 par graber

CD - BRUCE KULICK | BK3 (2010)

BRUCE KULICK | BK3 (2010)
Twenty 4 Records



Six mois après Kiss et Ace Frehley, l’ex-Kiss Bruce Kulick sort lui aussi son album solo. Le heavy et puissant ‘Fate’, aux faux airs vintage que n’aurait pas renié… Ace Frehley, démarre les hostilités. ‘Ain’t Gonna Die’ déboule avec Gene Simmons au chant, ‘No Friend Of Mine’, avec l’excellent chanteur / guitariste John Corabi (ex Mötley Crüe, ESP, Union). ‘Hand Of The King’ est chanté par le fils Simmons, Nick, et le bougre assure bien. Avec ‘I’ll Survive’, l’ambiance se calme, puis ‘Dirty Girl’ sonne très FM, avec Doug Fieger (The Knack) au chant. ‘Final Mile’ poursuit dans la lignée pépère et on remet enfin les gaz avec ‘I’m The Animal’ chanté par Tobias Sammett (Edguy), avec Eric Singer (Kiss, ESP) aux fûts. On repasse en mode ‘cruise control’ avec ‘And I Know’. Le groovy instrumental ‘Between The Lines’ avec Steve Lukather (Toto) au manche, permet aux deux guitaristes de s’en donner à cœur joie. L’album se termine sur la ballade ‘Life’. Un des points négatifs réside dans la voix de Bruce qui, au contraire d’Ace Frehley, de Joe Perry ou même de Keith Richards, n’a pas de feeling et sonne plat. Pour ma part, j’aurais apprécié plus de folie et d’attitude, comme sur les deux très bons albums d’Union où l’alchimie Corabi / Kulick fait des étincelles. Mais l’album colle à la personnalité tranquille de Bruce et les fans de Kiss (dont je fais partie) vont aimer une bonne partie de l’album, et les guitaristes vont apprécier son toucher. [Steff]

www.kulick.net

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mis en ligne le : 26.05.10 par graber

CD - AUTUMN HOUR | Dethroned (2010)

AUTUMN HOUR | Dethroned (2010)
Cyclone Empire



Le label allemand Cyclone Empire continue d’avoir le nez creux, et vous propose avec ‘Dethroned’, dans un style pourtant bien différent de ce qu’ils ont l’habitude de sortir, la version européenne du premier album d’Autumn Hour. Les fans d’Alan Tecchio (Hades, Watchtower) ou des Seven Witches l’auront peut-être déjà dans sa version US, mais cette version européenne digipack propose trois bonus (deux inédits, plus une version acoustique d’un titre de l’album). Si le nom de Tecchio vous parle, vous vous douterez que l’homme n’a pas retourné sa veste et propose avec son nouveau projet un groupe toujours hard rock. Sa très belle voix (qui peut faire penser aux chanteurs d’Iced Earth ou Nevermore dans les grandes lignes) vient se poser sur du hard rock nineties parfois agressif, mais plus souvent jouant sur les ambiances, et posant des refrains ‘grand public’. La reprise de ‘Here Comes The Rain Again’ d’Eurythmics, extrêmement bien revisitée, est d’ailleurs symptomatique de cet album, dont certains titres auraient sans problème pu faire un petit carton à la radio il y a vingt ans de ça… Mais après tout, vu qu’on est en plein revival et que les grands de l’époque se reforment, peut-être Autumn Hour a-t-il sa carte à jouer ? Quoi qu’il en soit, amateur de hard, ne passe pas à côté de ‘Dethroned’ ! [Thomas Bonnicel]

www.autumnhour.com

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mis en ligne le : 26.05.10 par graber

NEWS - 25.05.2010 : Motörhead - No sleep 'til Paleo

Une news assez incroyable, Motörhead va jouer au Paléo le mardi 20 juillet. En voilà une (de news) que je n'aurais jamais cru écrire un jour...

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mis en ligne le : 25.05.10 par indy

NEWS - 25.05.2010 : Slipknot - Décès du bassiste

Après Dio (et quelques autres malheureusement) voici que la musique perd Paul Gray, bassiste de Slipknot. Il a été retrouvé mort dans une chambre d'hôtel de l'Iowa hier (24 mai). Il avait 38 ans. Sale mois pour les rockers...

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mis en ligne le : 25.05.10 par indy

CD - ARMORED SAINT | La Raza (2010)

ARMORED SAINT | La Raza (2010)
Metal Blade Records



Armored Saint, voilà un nom surgi du passé. Le groupe fut formé en 1982 dans la très prolifique ville, à l’époque, de Los Angeles. N’ayant pas connu le même succès que des Metallica et autres, Armored Saint a toujours été considéré, malgré tout, comme un très bon groupe grâce entre autres à son excellent chanteur John Bush. Mais oui, vous savez, celui qui a été la voix d’Anthrax depuis 1992 jusqu’à ce que le groupe préfère faire un retour en arrière en réintégrant Belladonna. En écoutant ce nouvel opus des Saint, on s’aperçoit à quel point la voix de Bush a influencé le son d’Anthrax durant toutes ces années, une voix puissante, profonde et reconnaissable entre toutes. La voix est tellement imposante que parfois on peine à savoir si on écoute un album d’Armored Saint ou un album d’Anthrax période ‘Sound Of White Noise’. Ceci dit, les Saint ont avant tout fait cet album pour s’amuser, sans prise de tête, et le résultat est un album sympa, mais sans grande surprise. Par contre les fans de la voix de John Bush seront aux anges. [Indy]

www.myspace.com/armoredsaint1

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mis en ligne le : 25.05.10 par graber

CD - ANTARES PREDATOR | Twilight Of The Apocalypse (2010)

ANTARES PREDATOR | Twilight Of The Apocalypse (2010)
Battlegod Productions



Encore une fois, l’habit ne fait pas le moine : avec son logo à la Sadistik Exekution, et son line-up formé d’ex- Keep Of Kalessin, Scariot ou Belphegor, ce premier album d’Antares Predator nous est vendu comme du black / thrash. Sauf que par black / thrash, la plupart d’entre nous pensera à des groupes suant la bière par tous leurs pores, comme Desaster, Aura Noir, Razor Of Occam… alors qu’Antares Predator est ni plus ni moins qu’un groupe de black semi-symphonique reposant sur des riffs thrash. Et je vais lâcher un gros mot : Dimmu Borgir. Prenez les riffs thrash (et propres) de Silenoz voire Galder, qui sont de vrais thrasheurs old-school dans l’âme, accélérez-les un peu, rajoutez quelques claviers bien moins grandiloquents que ceux de Mustis, un batteur qui blaste à fond les gamelles, et vous aurez votre ‘Twilight Of The Apocalypse’. Ajoutez à cela un son nickel, clair et propre comme un sou neuf, des titres qui se laissent enfiler aussi facilement qu’une locataire de vitrine rouge, et vous aurez au choix, soit un album excellent de black thrashy (ça c’est si vous cherchez un truc un peu plus rebelle que le seul black sympho de supermarché que vous écoutez tous les jours), soit un album de bonne qualité mais ô combien putassier. [Thomas Bonnicel]

www.myspace.com/antarespredator

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mis en ligne le : 25.05.10 par graber

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