CONCOURS TRANSIT


ELECTRON RAGE (Dookoom, Algorithm, Protohype, Aïsha Devi, L-Za)
L'Usine, Genève
25.03.2016

Pour plus d'infos : http://www.transitmag.ch/index.php?Article=6028

MANOWAR | St. Jakobshalle, Bâle
25.03.2011
Mémé Metal : Suzy, combien de fois faut-il te rappeler que quand tu as vu Motörhead il y a au moins quarante-cinq ans, tu ne te souviens même pas vraiment des autres groupes sur l’affiche ? Ta mémoire t’a joué des tours, triste qu’il faille te le redire, parce qu’avec le temps tu devrais le savoir ! Tu as dû oublier.
Suzy : Lors de l’annonce du concert, je me suis dit : c’est cool, ils vont jouer à quelques heures près à la même date qu’il y a XX ans quand j’ai passé mon permis, faudra pas rater ça. Mais qu’est-ce qui m’a pris d’aller voir Manowar ?
Mémé Metal : Je te le fais pas dire ! En plus, t’as pas pu faire ton interview. Paraît que c’est parce qu’ils ne peuvent pas faire les interviews les jours de show, et les photos non plus, bref, tout ce trajet pour te faire broyer les boyaux avec la distorsion à fond.
Suzy : Je sais, mais sur le moment j’étais motivée par la nostalgie et l’euphorie des jeunes et moins jeunes qui attendaient leur retour avec envie.
Mémé Metal : Mais bon, raconte-moi un peu comment ça s’est passé, et pitié zappe un peu tes commentaires ‘views from the bar’ parce que je suis sûre que tu as dû en faire des tonnes.
Suzy : OK, je me lance, mais tout ça doit rester entre nous. Après un super voyage ensoleillé, sans accrocs et en bonne compagnie, on arrive à Bâle. La foule est déjà présente et de bonne humeur, il y a encore quelques heures à attendre mais malgré ça tout le monde est impatient. Les portes ouvrent pile à l’heure (eh oui, on est en Suisse). Première constatation, la salle est à moitié vide, les hauts des gradins fermés. Paraît qu’il n’y a eu que deux mille six cents billets en prélocations et environ une centaine de places réservées pour les concours. Une chose est sûre, Manowar a sorti le tapis rouge pour ses fans les plus fidèles, et il y a du choix dans les t-shirts, l’aigle doré prédomine largement. Les premiers rangs sont bien tassés et l’absence d’une première partie prolonge l’attente. Avec bien une heure de retard, ils débutent avec ‘Manowar’ et ma deuxième constatation est l’absence d’effets pyrotechniques. Il y a des gros ‘booms’, avec la basse à fond, distortionnée un max. La sono gère très mal ceci ; ça grésille, les solos sont assez inaudibles et confus. Je décide de quitter le premier rang et de me ranger dans les places assises afin d’ôter les vibrations de sous mes pieds. En général, le tempo est beaucoup plus lent que ce à quoi je m’attendais, mais je pense que c’est la faute à Metal Heart. Les titres tels que ‘Kill With Power’, ‘Metal Warriors’ ou ‘Fighting The World’ passent encore pas si mal, si je fais l’impasse sur la basse. Ils ont osé faire ‘The Gods Made Heavy Metal’ et je note aussi les efforts sur ‘Hail And Kill’. Mais Manowar sans tous les clichés ne serait pas Manowar, on a eu droit à la troupe hongroise, qui avait fait le déplacement exprès pour eux. Certaines d’entre elles ont pu se faire tripoter derrière les amplis par Eric Adams avant de passer sur le devant de la scène et d’enlever le haut pour montrer leurs nichons au public. Remarque féminine : j’ai bien aimé son top (avant qu’elle l’enlève) ; remarque masculine : waow ! En pseudo-rappel : ‘Kings Of Metal’ et ‘Warriors Of The World United’. Sans oublier le speech de DeMaio à la fin qui était un peu lamentable.
Mémé Metal : Pourquoi ça ?
Suzy : Eh bien parce que les kids sont là pour les écouter jouer, pas pour les entendre se plaindre sur les escrocs dans le business de la musique, les poseurs et tout le reste. Parce que faire payer quasi cent francs à des jeunes pour un concert, qui a duré plus ou moins deux heures, pour avoir ensuite droit à un speech pareil, c’est juste de l’arnaque. Après tout, les ‘true metal people that’s Manowar’s crowd’ et moins sur scène. [Mémé Metal]

ONE MAN ARMY AND THE UNDEAD QUARTET | The Dark Epic
Massacre Records



Reprenant les activités là où 'Grim Tales' les avait laissées, 'Dark Epic' emploie la recette habituelle tout en lui ajoutant quelques épices spéciales améliorant le résultat. La fournée 2011 des Suédois est donc sensiblement du même tonneau, à quelques détails près ; la production, par exemple, progresse aussi bien en qualité qu'en subtilité ; l'efficacité et l'impact de leur death / thrash teinté de mélodies, qui n'étaient absolument pas remis en question sur les autres réalisations, se voient ici aussi accentués... Bref, l'évolution du groupe suit son cours positivement ; point de grosses surprises, mais un travail qui installe une certaine confiance quant à la suite des opérations. Toutefois, One Man Army And The Undead Quartet aura du mal à tenir tous les auditeurs en haleine jusqu'au terme du disque, la faute à une certaine lacune en matière d’inventivité. Mais pour les amateurs de bons riffs et de la broderie guitaristique, le problème ne sera que superficiel et n'empêchera en rien d'apprécier cet opus pêchu, savamment exécuté. [Arnaud]
www.onemanarmyband.com

OMMATIDIA | In This Life, Or The Next
Season Of Mist Records



Voici les dignes successeurs du groupe français The Old Dead Tree, disparu fin 2009. Les anciens membres de TODT – Vincent Danhier (basse) et Nicolas Chevrollier (guitare) – nous présentent leur nouveau projet Ommatidia, dont le premier album ‘In This Life, Or The Next’ nous rappelle avec regret la fin du groupe parisien, mais nous réjouit grâce à son metal puissant et hypermélodique. Accompagné d’une voix grave, qui nous rappelle sur certains passages le charismatique chanteur Eddie Vedder, d'arrangements simples mais parfaitement réalisés et de solos de guitare ultra-mélodiques dignes des meilleurs groupes de rock / hard rock des années septante, ce petit bijou nous entraîne merveilleusement dans le monde du groupe. Un beau premier album dont la sortie, prévue le 21 mars 2011, plaira tant aux amateurs de metal lourd qu’aux amateurs de rock ! [Gabz]
www.ommatidia.net

MOONSORROW | Vajoina Kuljemme Kuolleiden Maassa
Spinefarm



Une approche intelligente – presque intello – de la musique ; une attitude intègre et novatrice... C’est peut-être ce qui justifie l’étiquette de Pink Floyd du metal extrême qui colle de plus en plus souvent à la peau de Moonsorrow. Alors que les rangs du pagan metal ne semblent pas se dégarnir, les Finlandais s’éloignent toujours plus du gros de la troupe, se forgeant, album après album, une identité propre. À ce titre, le très ambitieux ‘V: Hävitetty’, sorti en 2007, marque sans doute le sommet de la carrière de Moonsorrow. Ces derniers l’ont bien compris et, plutôt que de chercher à égaler ce monument, s’orientent vers de nouveaux terrains de chasse avec ce sixième album. La dimension prog s’efface légèrement. Place à la lourdeur pure du doom, à la noirceur du black. La majesté, la grandeur, elles, sont toujours présentes. On sent plus que jamais l’influence du Bathory de ‘Hammerheart’. Les quatre chapitres qui composent (on prend sa respiration) ‘Vajoina Kuljemme Kuolleiden Maassa’ planent tous durant plus de dix minutes, le plus long atteignant même les seize minutes ! Mais la tension et l’attention ne baissent jamais. Car à la complexité musicale de leurs œuvres, les Finlandais savent opposer une musique tout en feeling, parfois pesante (‘Tähdeton’), souvent désespérée (le douloureux ‘Kuolleiden Maa’), toujours belle. Une pure réussite. [Dave]
www.moonsorrow.com

FESTIVAL GUITARE EN SCÈNE | St-Julien-en-Genevois, France
Du 29 au 31 juillet 2011
Prix : de 35.- à 50.- €, tarifs préventes. Prix spéciaux étudiants, cf. site internet



C’est la cinquième édition de Guitare en Scène, c’est aux portes de Genève et c’est pendant trois jours ! Il y aura du blues, du rock, du jazz, du hard rock’n roll et surtout beaucoup de guitares ! Le vendredi soir s’annonce avant tout rock français avec Louis Bertignac qui assurera la tête d’affiche de la scène Chapiteau. Il y aura également le funk rock de Keziah Jones, les Neuchâtelois de Rambling Wheels et, sur la scène Village, ce sera soirée blues rock avec Tobacco Road, Pat McManus et, notamment, Mr. Bernie Marsden qui va jouer du Rory Gallagher. Notez qu’en plus il y aura sûrement quelques invités surprise ! Le samedi soir, nous aurons droit à une grande soirée guitares américaines avec, en exclusivité européenne : Messieurs Joe Satriani et Steve Lukather, ainsi que le groupe français Boxon. Tandis que la scène Village s’animera au son de Hednoka, Electric Ducks et The Hyenes. Le dimanche, le festival accueillera un véritable évènement : réunir sur la même scène, le même soir les DKT-MC5 et Iggy Pop et les Stooges. On pourra également revoir la magnifique Lisa des Bellrays, car une voix comme celle-ci mérite le détour. Sur la scène Village, nous retrouverons les Wind Of Change de Genève et le Jim Jones Revue originaire de Londres. Réserve bien cette date ou, mieux encore, réserve-les toutes ; étant donné leur talent organisationnel, je sais déjà que tu passeras une bonne soirée quelle que soit celle choisie ! Et n’oublie pas de faire un saut sur le site le jeudi soir pour la finale des Tremplins 2011, en compétition : les Genevois de Jerrock, les Français de Sleekstain et Rhâal, et les Japonais de Taro & Jiro. Venez nombreux pour les soutenir, ils méritent tous leur chance. [Suzy]
www.guitare-en-scene.com

ROCK OZ’ARÈNES | Avenches
31 juillet 2011 soirée Electr’Oz Arènes
Puis du 3 au 6 août 2011
Abonnements 2, 3 ou 4 jours de CHF 130.- à CHF 260.-



Le festival Rock Oz’Arènes fête déjà ses vingt ans ! Impressionnant ! Et en vingt ans ils ont eu de très bonnes affiches dans cadre intéressant, sans oublier un accueil très sympa. Cette année ne devrait pas déroger à la règle, surtout avec un programme pareil. En warm up le dimanche soir aura lieu une soirée Electr’Oz Arènes avec des artistes tels que Tiësto ou Bob Sinclar. Vous ne savez pas qui c’est ? Ce sont des DJs, je ne peux pas vous en dire plus, je ne pourrais pas leur rendre justice je peux juste vous dire qu’ils sont apparemment très connus... Mais pour Transit le véritable festival débutera le mercredi soir avec les Scorpions qui sont toujours en plein dans leur tournée d’adieu. Profitez d’aller les voir parce que l’année prochaine ce sera trop tard, à moins qu’ils ne fassent à nouveau un petit détour du côté de cette fontaine de jouvence qui leur permet de tourner encore et encore… Autre dinosaure à l’affiche ce soir-là c’est Bernie Constantin. Hmmm mais j’y pense, en parlant de dinosaure en tournée, je ne crois pas vous avoir déjà soulés avec Motörhead cette année ? Pas trop il me semble, et en tout cas pas assez ! Notez la date du jeudi soir dans votre agenda car ils seront de retour tout près de chez nous, histoire de nous rappeler qu’ils sont le plus grand groupe de rock’n roll de tous les temps, en tout cas celui qui tourne depuis le plus longtemps et le plus assidûment. Un concert de Motörhead c’est toujours une fête très rock’n roll, et je ne peux que vous conseiller le déplacement ! Ce soir-là il y aura également Clawfinger en première partie et pour représenter la scène régionale : Ass Of Spades et Sideburn, sans oublier nos amis de Shakra, ils méritent aussi leur place. Une soirée rock’n roll en perspective. Le vendredi soir on change un peu de registre avec Ben Harper, Stephen Marley et The Lords Of Altamount. Le samedi, pour clore les festivités, il y aura Stephan Eicher, Olivia Ruiz mais aussi plein d’autres artistes. Pour connaître la programmation définitive et les heures de passage allez faire un petit tour sur le site, régulièrement, et profitez des options d’abonnement qui sont très intéressantes, sans oublier qu’ils offrent des services VIP avec accueil, parking, places dans les gradins et apéro… Vous êtes prévenus. [Suzy]
www.rockozarenes.com

PALEO FESTIVAL NYON | Pleine de l’Asse, Nyon
Du 19 au 24 juillet 2011
Prix : Complet, comme d’hab. Dernière chance : 1500 billets ont été réservés pour chaque soirée. Ils seront en vente chaque jour du festival dès 9h sur le site internet du Paléo ainsi que dans les points de vente Ticketcorner.

Comme à son habitude, le Paléo Festival de Nyon a été, à nouveau, victime de son succès pour sa trente-sixième édition. En quelques heures, certains jours étaient déjà complets et le festival affichait sold out trois jours plus tard, certainement l’un des seuls festivals d’Europe à pouvoir se vanter d’une telle réussite. Niveau programmation, le Paléo ne sort pas de ses sentiers battus, en proposant une affiche mettant en avant les découvertes qui sont le fruit du travail des programmateurs qui voyagent à travers le monde, durant toute l’année, à l’affût des artistes de demain. Cependant, on sent que le haut de l’affiche souffre quelque peu de cette politique de programmation, car cette année, comme les précédentes, les têtes d’affiche ne sont pas à s’en relever la nuit. Même si nombreuses sont les personnes qui leur reprochent cette manière de programmer, il faut avouer qu’il est plus intéressant de découvrir des groupes en devenir, plutôt que de chanter en chœur les paroles d’un artiste que le public connaît par cœur. Mais pour en revenir au vif du sujet, le festival débutera le mardi 19 juillet avec plusieurs bons groupes, dont les énervés de Bloody Beetroots Death Crew 77 et leur son electro bien violent et vitaminé. À noter également la présence des rockers de The National et de Pulled Apart By Horses et leur punk-hardcore. Pour les plus tranquilles d’entre vous, vous pourrez également acclamer Cali et Zaz. Les stars incontestées du lendemain sont, sans aucun doute, The Chemical Brothers et Portishead, qui promettent de mettre le feu à la grande scène tout comme le feront certainement The Strokes et PJ Harvey, lors de la soirée du jeudi 21 juillet. Le même soir, vous aurez également l’occasion de vous détendre sur les sonorités pop de The Do ou de siroter une bière devant Jean Louis Aubert, ex-frontman des mythiques Téléphone. La fin de la semaine se déroulera en douceur avec James Blunt et Stromae qui feront un grand plaisir aux yeux de ces demoiselles. C’est l’inattendue Amy Winehouse qui sera à l’honneur du samedi et on espère qu’elle tiendra parole afin d’épauler le puissant Robert Plant de Led Zeppelin. Le dernier jour du festival se déroulera en compagnie de l’humoriste Jamel Debbouze qui présentera son nouveau spectacle au public suisse. Seront également présents Yael Naim et Eddy Mitchell pour ne citer qu’eux. Mais si ces grands noms ne vous intéressent pas, mais que vous avez envie de découvrir de nouveaux artistes et de manger de bonnes choses, le Paléo Festival est aussi, et encore plus, pour vous. [Randy]
www.paleo.ch

KORN, STILLWELL | Les Docks, Lausanne
02 juillet 2011
Portes: 19h30 | Prix: 70.-



KORN aux Docks… faut-il vraiment rajouter quelque chose ? ah oui c’est complet, donc bon courgae pour trouver des billets. Tout ce qu’on peut dire c’est que ceux qui ne seront pas là s’en mordront les doigts. [Indy]

www.lesdocks.ch

MARSUPIUM MASSACRE | Hydrocephalus
GMR Music



L'univers bizarre et décalé de Marsupium Massacre nous ouvre ses portes… À travers un album forgé dans le cauchemar et la décadence, le duo suédois nous révèle la teneur de son esprit dérangé. Entre indus et EBM, les dix titres qui composent cet opus nous plongent dans une dimension où l'horreur règne en maître, où la peur n'est qu'une sucrerie ; là où aucune onde positive ne vibre. Les bruits stressants de chocs métalliques, les grondements grumeleux et quelques cris de folie mêlés aux beats électroniques et autres sons synthétiques en constituent le paysage. Tout est, ici, orchestré dans une ambiance terrifiante, sous le signe de la démence. Tant de noirceur dans un disque qui, pour un amateur du genre, se révélera un pur moment de bonheur, une dose de choix pour des junkies musicaux bien ciblés. Car oui, tout le monde n'est pas encore prêt à apprécier ce genre d'objet particulier… [Arnaud]
www.myspace.com/marsupiummassacre

MAGNUM | The Visitation
Steamheammer



Le groupe anglais ne cesse de confirmer l’adage disant que c’est dans les vieilles casseroles que l’on fait les meilleures soupes. Avec son dernier album, ‘Into The Valley Of The Moonking’ (2009), il a en effet surpassé tout ce qu’il avait fait en presque quarante ans de carrière, dépassant même le niveau atteint au milieu des eighties avec ‘On A Storyteller’s Night’ et ‘Mirador’. Le duo formé par Tony Clarkin et Bob Catley égale certainement les plus grandes paires : Mercury / May chez Queen, Blackmore / Gillan chez Deep Purple ou encore Perry / Schon chez Journey. Avec eux, c’est vraiment un et un font trois, tant la communion entre ces deux musiciens hors pair est synonyme de merveille. Et ce ‘The Visitation’ est sans aucun doute à classer parmi les plus belles réussites du groupe. Plus aventurier que son prédécesseur, surtout avec des pièces d’anthologie comme le morceau ‘The Visitation’, Magnum renoue avec ses anciennes amours, le rock progressif. Mais il ne se dépare jamais de ce qui a fait de lui l’un des plus brillants de sa génération, c’est-à-dire la mélodie. Tony Clarkin est depuis toujours le maître d’œuvre de ces mélodies qui savent vous atteindre au plus profond de votre être. Il y a de la magie, voire de l’ensorcellement dans ses compositions. Et que dire aussi de la voix, Bob Catley, qui sait mieux que quiconque vous foutre la chair de poule en vous laissant au bord de l’apoplexie. Le groupe est encore formé de Mark Stanway, le fidèle claviériste, du bassiste Al Barrow et du batteur Harry James (ex-Thunder), des musiciens qui méritent aussi d’être cités tant leur performance sur ‘The Visitation’ est, en tout point, parfaite. La version limitée de cet album offre un DVD avec, entre autres, quatre morceaux live du groupe au High Voltage 2010 et un morceau inédit ‘Eyes Like Fire’. Du bien bel ouvrage que je vous conseille de vous procurer dans les plus brefs délais ! LE disque de ce début 2011 ! [Etendhard]
www.magnumonline.co.uk